Bombez les quartiers

Publié le par jeune nation

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Il existe un moyen peu onéreux et assez spectaculaire de signaler une présence identitaire : le bombage. Interdit lorsqu’il s’agit de bombe de peinture, il reste possible si l’on utilise du blanc d’Espagne. C’est donc dans ce cadre légal qu’il faut bien sûr lire les lignes qui suivent. Pour qu’un bombage soit efficace, il faut obéir à quelques règles précises.

D’abord, il faut choisir le lieu avec soin. Un pont d’autoroute, un mur le long d’une voie ferrée, d’une ligne de bus ou de tram conduisant à une faculté, l’entrée d’une bibliothèque universitaire, bref, il faut cibler les points par lesquels transitent chaque jour des milliers de personnes. Inutile donc de couvrir d’inscriptions une ruelle de votre village. Il faut également ne pas décrédibiliser notre cause : laissons les murs des wc de facultés ou de gare aux pédérastes…

Ensuite, il convient de choisir avec soin le slogan. On peut les diviser en deux catégories : les bons et les mauvais. Les mauvais, c’est simple, c’est tout ce qui n’est pas politique (appel au meurtre, private joke, nostalgie…). Les bons, c’est tout ce qui est politique ou bien signale notre présence (logo identitaire avec nom du mouvement).

Un bombage ne se fait pas à dix. Il convient d’être discret. Un guetteur suffit. De même, inutile d’attirer l’attention en revêtant une panoplie de faf. Les bonnes heures pour le bombage sont plutôt celles de l’aube durant laquelle la surveillance policière est plus réduite. Si vous êtes particulièrement maladroit ou bien si vous avez quelques qualités artistiques, vous pouvez utiliser des pochoirs. Le résultat sera plus soigné mais forcément moins spectaculaire.

Pour conclure, dans ce type d’action comme pour les autres, il est nécessaire d’entretenir le terrain. Un bombage annuel ne sert à rien. Une dizaine d’inscriptions à des endroits stratégiques convenablement entretenus voila l’objectif minimal pour un groupe identitaire.

Et comme le disait le défunt président Mao : “que cent ….mille ….bombages identitaires fleurissent ce printemps sur les murs d’Europe!

Source : Jeune Résistance

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