Dinant..."Si je les trouve, je les tue"

On le constate à travers la presse, belge notament : Ces derniers mois, les faits d’insécurité n’ont jamais prit une telle ampleur de gravité. Infanticides, meurtres pour un MP3 ou une cigarette, tortures, viols à en pleuvoir et autres aggressions à n’en plus finir …

“Si je les retrouve, je les tue”, c’est le titre d’un récent fait divers publié ce mercredi 7 Mars dans la Dernière Heure. La ville de Dinant est consternée suite au viol d’une adolescente de 14 ans qui revenait du Delhaize …

La victime a été accostée par deux “hommes”, accompagnés d’un Pitt Bull, qui la suivaient depuis longtemps, qui l’ont menacée, frappée puis violée.

Pour une fois, la température à Dinant a grimpé d’un cran. Une quarantaine de jeunes de la localité est sortie la nuit à la chasse aux criminels, si bien que Richard Fournaux a dû mobiliser la police “pour leur faire entendre raison”.

Le père de la jeune fille n’a pas l’air pret à sombrer dans le discours systémique et laxiste comme d’autres familles de victimes : “Si je les retrouve, je les tue.” “D’autres que moi dans le quartier ont la même détermination. On a peur pour nos enfants. Bientôt, ils n’oseront plus sortir de chez eux”.

Quand on pense que pas plus tard qu’hier, une dépeche Belga déclarait que quelque 43% des dossiers de viol classés sans suite, et seuls 17% sont traités au tribunal correctionel (avec quels peines ?). … Alors que le nombre des dossiers de ce registre ont augmenté de plus de 30% en cinq ans !

Si un jour nous pouvions prendre le pouvoir …